Cette année, le jardinier qui sommeille en vous a décidé de se lancer dans l’aventure de l’agriculture urbaine. Le programme est aussi vaste que sa définition, que l’on peut résumer ainsi : toutes les formes de productions alimentaires allant du balcon au champ. On parle aussi de jardinage urbain pour les types de production non marchandes, installées essentiellement en zone à bâtir, sur de l’espace privé ou public. Bref … l’important dans tout ça n’est-il pas de mettre les mains dans la terre ? Jardiner en ville connaît un tel engouement que même le pied des arbres se parent de jolis tapis d’herbettes aromatiques, espace équitablement partagé avec les espèces spontanées comme le plantain et le pissenlit.
Le balcon vous semble être le périmètre correspondant à votre ambition de cultivateur en herbe: ni trop grand, ni trop petit. Les pots, les sacs, les tables de culture mettront vos salades en hauteur, ménageant ainsi votre dos. En pantoufles, vous cultiverez votre plaisir à voir s’épanouir vos plantations, promesse d’une récolte certes modeste mais tellement réjouissante !
Bienvenue dans l’univers des urbanobalconyculteurs !
Mmmmmh…, Urbanobalconyculteur…, curieux néologisme composé de français et d’anglais. Si le mot n’est pas prêt d’entrer dans le Larousse, il a la vertu de nommer précisément le jardinier citadin oeuvrant à cultiver son balcon.
Voilà, les pieds prennent déjà l’air. Les pantoufles sont dans les starting-blocks !
3,2,1, top, c’est parti pour une belle saison du jardinage sur le balcon !
Corinne
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